[1] J. Fraipont, Compte rendu des travaux du VIe congrès tenu à Liège les 3, 4, 5 et 6 août 1890, dans Fédération archéologique & historique de Belgique, t. VI, 2e fasc., Liège (1891), p. 202 – 203 : réponse de M. Freson, à la 20e question (Faire l’histoire de la vigne en Belgique au moyen de la toponymie): si on consultait les premiers actes de fondation d’abbayes, on trouverait dans les donations, des mentions de vignobles. En effet, nous voyons souvent figurer parmi leurs revenus en nature, des rentes d’aimes de vin «pure larme» ou de vin «vermeil». Je citerai notamment une donation faite par Louis-le-Débonnaire (fils de Charlemagne, né en 778) au monastère d’Andage, qui plus tard, est devenu celui de Saint Hubert. L’empereur fait concession aux moines de trois vignobles qui se trouvaient au pied de l’ancien château de Huy. [2] Expression reprise à la chronique de Villers (voir S. NOËL, La Cronica de Villers, dans Villers, n°5, 1er trimestre 1998, p. 32) qui l’a elle même empruntée à l’Exordium Cistercii, I, 13, 4. [3] Ch. Licot, Abbaye de Villers-la-Ville. Description des Ruines, Nivelles, 1877, p. 101. [4] O. Henrivaux, L’abbaye de Villers-la-Ville et la vigne, dans Cercle Historique de Dion et sa région, n° 9, 1992, p. 3-9. L’auteur se réfère notamment aux Gesta, cités par É. de Moreau, L’abbaye de Villers-en-Brabant aux XIIe et XIIIe siècles, Bruxelles, 1909, p. 213-214. Sur les origines et l’abbatiat de Charles de Seyn, voir également J.-B. LEFÈVRE, Bref commentaire préalable sur la Vie de Charles de Seyn, dans Villers, n° 19, p. 4-9 et F. LEBRUN, Traduction française de la Vie de dom Charles, abbé de Villers, dans Idem, p. 10-17. [5] J. J. Hœbanx, Nivelles et ses vins, dans Les Routes de la Treille, Didier-Hatier, 1990, p. 98. [6] O. Henrivaux, L’abbaye de Villers-la-Ville et la vigne, dans Cercle Historique de Dion et sa région, n° 9, 1992, p. 3-9. [7] Cronica continuatio, 2a. c. 18, dans Monumenta Germaniae Historica, t. XXV, p. 213. [8] E. VAN EVEN, Louvain dans le passé et le présent, p. 162. [9] É. de Moreau, L’abbaye de Villers-en-Brabant aux XIIe et XIIIe siècles, Bruxelles, 1909, p. 214. [10] Ibidem, p. 231. [11] Selon le Grand Larousse encyclopédique, Paris, 1964. [12] O. HENRIVAUX, Inventaire analytique des archives de l’abbaye de Villers à l’archevêché de Malines, Villers, APTCV, 1996, p. 30, n° I.2.1.8.1.5 : Etat des médicaments livré pour le service des messieurs les Religieux de Villers depuis le mois de may 1736 jusqu’au mois de juin 1738. [13] Eau de vie de vin (du flamand brandewijn, vin brûlé). [14] É. BROUETTE, Abbaye de Villers, à Tilly, dans Monasticon belge, t. IV, Province de Brabant, Liège, 1968, p. 384. [15] Voir T. PLOEGAERTS et G. BOULMONT, L’abbaye cistercienne de Villers pendant les cinq derniers siècles de son existence. Histoire religieuse et économique du monastère, dans Annales de la Société archéologique de l’Arrondissement de Nivelles, t. 11, 1926, p. 285 et suiv. [16] Sur les élections abbatiales à Villers aux Temps modernes, voir M. DUBUISSON, Les élections abbatiales à Villers (XVIe-XVIIIe siècle), dans Villers, n° 18, p. 20-25. [17] R. Van Uyten, La viticulture dans le duché de Brabant, dans Les routes de la treille, Bruxelles, Didier Hatier, 1990, p. 52-53. [18] E. PITON, En Hesbaye, La Lèpre – Les Vignobles – La Frontière linguistique, Gembloux, Editions Duculot, 1948, p. 54. [19] T. PLOEGAERTS et G. BOULMONT, L’abbaye cistercienne de Villers pendant les cinq derniers siècles de son existence. Histoire religieuse et économique du monastère, dans Annales de la Société archéologique de l’Arrondissement de Nivelles, t. 11, 1926, p. 159. [20] 3 x 160 l = 480 l. [21] T. PLOEGAERTS et G. BOULMONT, L’abbaye cistercienne de Villers pendant les cinq derniers siècles de son existence. Histoire religieuse et économique du monastère, dans Annales de la Société archéologique de l’Arrondissement de Nivelles, t. 11, 1926, p. 361. [22] Ibidem. [23] Ibidem, p. 120. [24] T. PLOEGAERTS et G. BOULMONT, L’abbaye cistercienne de Villers pendant les cinq derniers siècles de son existence. Histoire religieuse et économique du monastère, dans Annales de la Société archéologique de l’Arrondissement de Nivelles, t. 11, 1926, p. 375 et 380. [25] O. Henrivaux, L’abbaye de Villers-la-Ville et la vigne, dans Cercle Historique de Dion et sa région, n° 9, 1992, p. 3-9. [26] R. Van Uytven, La viticulture dans le duché de Brabant, dans Les routes de la treille, Bruxelles, Didier Hatier, 1990, p. 55-57. [27] Ibidem, p. 55-57. [28] H. Johnson, Une histoire mondiale du vin de l’Antiquité à nos jours, Bruxelles, Hachette, 1990, p. 269. [29] T. PLOEGAERTS et G. BOULMONT, L’abbaye cistercienne de Villers pendant les cinq derniers siècles de son existence. Histoire religieuse et économique du monastère, dans Annales de la Société archéologique de l’Arrondissement de Nivelles, t. 11, 1926, p. 465. [30] Idem, p. 473 et suiv. [31] L’inventaire des biens de l’abbaye en 1795 (voir M. DUBUISSON, Une copie de l’état des biens de l’abbaye de Villers en 1795, dans Villers, n° 19, 3ème trimestre 2001, p 35-36) énumère les terres appartenant à l’Abbaye et leurs superficies, mais sans préciser leur affectation agricole. [32] E. POUMON, Abbayes de Belgique, Bruxelles, 1954. Une pièce de vin représente environ 200 litres. [33] T. PLOEGAERTS et G. BOULMONT, L’abbaye cistercienne de Villers pendant les cinq derniers siècles de son existence. Histoire religieuse et économique du monastère, dans Annales de la Société archéologique de l’Arrondissement de Nivelles, t. 11, 1926, p. 542. [34] M. LIBERT, L’alimentation à l’abbaye de Villers au XVIIIe siècle, dans Villers, n° 19, 3e trimestre 2001, p. 26. [35] Pour ce second chapitre, je remercie vivement M. Michel Dubuisson pour ses conseils éclairés et sa participation active dans l’analyse des textes cités ainsi que dans la vérification de leurs sources. [36] Relevé par O. Henrivaux, L’abbaye de Villers-la-Ville et la vigne, dans Cercle Historique de Dion et sa région, n° 9, 1992, p. 5. [37] Cité par T. COOMANS [38] G. Despy, Inventaire des archives de l’Abbaye de Villers, Bruxelles, 1959, p. 162 (n° 459). [39] T. Coomans: Analyse critique des gravures anciennes de l’abbaye de Villers aux XVIIe et XVIIIe siècles et de leurs copies du XIXe siècle, Villers-la-Ville – Bruxelles -Louvain-la-Neuve (décembre 1988). [40] C’est l’hypothèse de T. COOMANS : L’abbaye de Villers en Brabant. Construction, configuration et signification d’une abbaye cistercienne gothique, Bruxelles – Brecht, 2000, p. 524-525 [41] L’abbaye est à 90 mètres d’altitude. [42] R. Pilloy-Dubois: Villers-la-Ville – Recherches historiques sur le village, Villers-la-Ville (1977). [43] O. HENRIVAUX, Autour de l’abbatiat de Robert Henrion, 180 ans d’histoire de l’abbaye de Villers, Beauvechain, 2002, p. 131-133. [44] O. HENRIVAUX, Inventaire analytique des archives de l’abbaye de Villers à l’archevêché de Malines, APTCV, 1996, 171p. 45 Ibidem, p 109. [46] En mars c’est la période de taille, selon le dicton «taille tôt », taille tard, la meilleure taille c’est la taille de mars.» [47] Item paié 45 journées et demi pour avoir lier, couper la vigne pour 2 années, la journée à 6 sols : 12-9-0