Cette fois, il fut toujours question de Regent, mais d'une cuvée vinifiée de façon plus classique, c'est-à-dire issue d'une fermentation sur toutes les matières, puis pressurage. 366 bouteilles vinrent ainsi grossir les effectifs constituant notre stock.
Il faut dire que les moyens humains étaient là : trente participants étaient venus aider à s'acquitter de cette tâche, et refaire le monde ensuite autour d'un apéro au vignoble.
Philippe Et tous ces loups qu'il faut tuer Tous ces printemps qu'il reste à boire Jacques Brel