A l’invitation de notre toute jeune fraîchement élue administratrice Evelyne et de son Jean-Pierre de mari, ex gardien de l’oseille des Villersois, Eric Boschman, sommelier belge mondialement connu, est venu se perdre entre les rangs de Regent et Phoenix de notre petit Clos du bonheur en ce mardi 24 mai midi.
Evelyne, représentée par son mari, avait convié le CA qui – comme un seul homme – avait répondu présent en masse, puisque seul Paul D., vissé pour une fois à son fauteuil, avait décliné de participer à cette perfusion de bonheur en intraveineuse.
Comme dit le compte rendu du « Public », théâtre où il sévit avec son spectacle, Drôlement impertinent, professeur improvisé, il nous enivre autant d’anecdotes que de ce nectar qui accompagne nos vies depuis des millénaires. En passionné, Eric Boschman partage « son gai savoir » à la manière d’un Rabelais moderne, avec beaucoup d’esprit et une certaine irrévérence. Mais que voulez-vous, il n’a ni Dieu, ni maître…
Les cinq administrateurs et Jean-Pierre ont eu là une superbe occasion de refaire le monde avec Eric. Il le dit d’ailleurs lui-même…le vin est lubrifiant social… Et en matière de lubrifiant, il y en a un qui s’y connait au CA ! Même que les Français l’ont appelé Monsieur Goutte d’Huile, mâle interprêté par ses patrons américains qui le surnomment encore aujourd’hui Mister « Good Will ».
Eh bien, pour avoir partagé ses sensations en live, je puis vous dire que nous n’avons pas à rougir de notre qualité. Osons, montrons et soyons fier du fruit de notre travail à toutes et tous.
C’est qu’Éric, il aime notre rouge, notre Regent unique au monde obtenu par macération carbonique après avoir dégusté nos cuvées 2010 et 2016 et ça se voit qu’il aime car lui, il n’est pas avare en commentaires. Il sait dire ce qu’il ressent. Il sait mettre des mots sur ses papilles.
Merci Eric de nous avoir fait le plaisir de t’arrêter dans ce petit clos où la densité de passion par mètre carré est la plus élevée au monde avec 182 membres dont 55 actifs pour 15 ares complantés.
Tu as pu sentir que les fadas brabançons wallons que nous sommes ne sont intéressés que par la gratuité de tous nos faits et gestes afin de procurer du plaisir à l’autre. Même sans retour.
Mais …la porte du Clos n’est pas une porte. C’est une nasse. Une fois entré, plus envie de repartir. Le virus est contagieux et se propage vite de verre en verve. Ici point d’argent, seulement du Regent.
Et cette porte, elle t’est toujours ouverte et pourquoi pas…reviens-nous bien vite pour de nouvelles aventures avec ces Fées Laids de la Cafetière.